Le samedi 13 fevrier 2021, à la veille de la fête de Saint Valentin, le Prof Alain Bougouma réunissait chez lui et autour de lui un beau monde, venu pour la seizième fois consécutive, lui souhaiter « Bonne et heureuse année ». Un beau monde habituel composé des hepato-gastro-entérologues, dont certains sont venus des provinces pour la cause. Parmi la centaine de convives, on compte des médecins en cours de spécialisation. Dans ce beau monde, il y a des agents du service d’endoscopie diagnostique interventionnelle du CHU-YO, dont l’hôte du jour est le patron, mais aussi ses collaborateurs à l’UFR/SDS. En bonne place également, les collègues de service de Madame Bougouma.
Entre rasades de vins rares, et des coups de fourchettes sur du mouton boukanté ou du déshabillé de banane frites à l’huile d’olive, il fallait écouter les hommages. À commencer par celui prononcé par le major du service d’Endoscopie ; elle a loué son chef pour le climat de travail et relationnel qu’il a instauré dans le service, et qui est propice à une production de soins de qualité.
Le délégué des médecins en spécialisation métaphorise. Pour lui, leur maître est un fleuve de savoirs où plusieurs générations viennent s’abreuver. On retient que cette année, la spécialité hépato-gastro entérologie a eu deux nouveaux maîtres de conférences agrégés sur deux présentés au concours d’agrégation. Dans deux ans, pas moins de quatre seront en lice pour le grade de MCA. On attend la sortie dans un an de 4 nouveaux hépato-gastro-enterologues.
Comme d’habitude, le maître des maîtres a prodigué des conseils qui sont des incitations à davantage de travail, de rigueur avant de souhaiter à son tour à tous une année de santé. Un vœu de meilleure année qui vaut son pesant d’or car 2020 aura été éprouvant sur plusieurs plans. Rendez est pris pour l’année prochaine. En attendant on se trémousse….l’ effet des spiritueux aidant.